Le vaccin intradermique entraîne, selon cette étude de cohorte prospective, plus souvent des effets indésirables locaux plus intenses que le vaccin intramusculaire (56% versus 26%).
Cependant, les professionnels de la santé vaccinés n’ont pas de préférence pour l’un ou l’autre de ces vaccins. Les auteurs concluent que l’introduction d’un vaccin intradermique aurait peu d’influence sur le taux de vaccination.
Plus d’informations : Meijer W.J. et al. Influenza vaccination in healthcare workers ; comparison of side effects and preferred route of administration of intradermal versus intramuscular administration. Vaccine 2017. 36 (11) : 1517-1523.
http://dx.doi.org/10.1016/j.vaccine.2017.01.065