Selon des chercheurs danois, les vaccins vivants, comme le RRO, protégeraient également les enfants contre d’autres infections. Pour les vaccins inactivés, l’inverse se produirait : les enfants ayant récemment reçu ces vaccins deviendraient plus souvent malades. Mais la recherche aux Pays-Bas sur plus d’un million d’enfants nés dans la période 2005-2011 n’a pas pu confirmer ces résultats.
Plus d’informations : Tielemans SM, Hester E de Melker HE, Hahné SJM et al. Non-specific effects of measles, mumps, and rubella (MMR) vaccination in high income setting : population based cohort study in the Netherlands. BMJ. 2017. 358:j3862. Doi : https://doi.org/10.1136/bmj.j3862