Une étude belge publiée dans Vaccine s’est intéressée à l’effet de la vaccination Tdap (Boostrix™) des mères pendant la grossesse, sur l’immunogénicité, chez les nourrissons nés à terme et prématurés, d’un vaccin (Hexyon™) contre la diphtérie, le tétanos, l’aP, le poliovirus inactivé, l’hépatite B et l’Haemophilus influenzae de type b.

Une étude française a examiné les taux de vaccination contre la rougeole, la coqueluche, la varicelle et la grippe des médecins, infirmier-e-s, sages-femmes et aides-soignant-e-s dans les établissements de santé, sur base d’une enquête nationale randomisée.

Une étude néerlandaise publiée dans Vaccine précise l’efficacité, après 10 ans, de trois doses de vaccination HPV16/18 chez des femmes aux Pays-Bas.

L’infection persistante par le papillomavirus humain est la principale cause du cancer du col de l’utérus. Selon une revue publiée dans le BMJ, des preuves claires issues d’essais randomisés et d’études de population montrent que la vaccination contre le papillomavirus humain réduit l’incidence du cancer du col de l’utérus.

Une étude publiée dans Expert Review of Vaccines a étudié l’immunogénicité et la réactogénicité du vaccin hexavalent Hexyon™ dans les schémas de vaccination primaire et de rappel, ainsi que son utilisation concomitante avec d’autres vaccins infantiles et son utilisation chez les nourrissons immunodéprimés.

La myopéricardite après une vaccination contre la Covid-19 est rare chez les jeunes et a généralement une évolution précoce favorable. C’est la conclusion d’une revue systématique et d’une méta-analyse publiée dans JAMA Pediatrics.

Une étude publiée dans Vaccine a examiné les attentes négatives ou les effets nocebo qui se produisent après vaccination.

Une équipe de l’Institut de Médecine Tropicale (IMT) décrit dans Eurosurveillance les cas de cinq patients belges atteints d’une infection à mpox (’variole du singe’) sévère peu après une vaccination préventive post-exposition (PEPV), ou après une primovaccination préventive (PPV) hors AMM (autorisation de mise sur le marché) avec une ou deux doses chez des personnes non immunodéprimées. Selon une deuxième étude de l’IMT, les contacts à haut risque sont contagieux dès quatre jours avant l’apparition des symptômes.